Lundi 30 juillet 2007 à 10:48

Vous revez tous d'avoir une piscine, n'est-ce pas? Enfin, à part ceux qui vivent en bretagne, dans l'limousin, ou dans un quelquonque pattelin dans lequel il pleut, neige, vente, nuage, etc, tout le long de l'année. Non, je parle de ceux qui ont deja vu l'astre solaire au moins une fois dans leur vie. Tout le monde veut une piscine. Hé bien moi, je vais en avoir une. Après 16 ans de demandage intensifs à mes parents ( Allez 13, ne soyons pas mauvaise langue, à l'époque de l'apartement, je n'avais pas envie de piscine, j'en consent ), ils ont enfin signé les papiers. Oh, évidemment, s'ils s'y étaient pris deux mois plus tot, on l'aurait depuis début Juin, mais bon.

Jeudi, donc, les piscinistes devaient venir faire le trou à 10h. Donc mon père nous a tous reveillés allegrement à neuf heures. ( Finalement ils sont venus à onze heures moins le quart, mais passons. ) Vendredi, ils sont arrivés à huit heures. Alor dès qu'ils ont pointé le bout de leur nez, mon pere m'a reveillée. "Mais pourquoi, vu qu'ils sont deja là? Ils me verront en pyjama avec la gueule dans l'paté d'toute maniere" "Oui non mais tu comprend, c'est le début de la journée alors ils vont pas encore avoir envie de faire pipi, donc vont pas rentrer dans la maison" BREF.

Et ce matin, alors que les piscinistes ne devaient pas venir aujourd'hui, mon très cher père m'a reveillée à huit heures et demie. "Pourquoi?" "Boh, au cas ou ils viendraient à l'improviste".

Et là je me questionne. Mon père, non content d'avoir enfin trouvé le truc pour nous faire plaisir, nous, ses enfants, ne fait-il pas expres de nous reveiller tôt pour se venger?

 Je vis avec des sadiques nés. Et un en particulier.

Mercredi 11 juillet 2007 à 17:43

Parce que les choses extraordinaires n'arrivent pas qu'à moi, je vais vous raconter comment mon père a failli mourir hier soir.

Comme vous ne connaissez strictement rien de ma vie en dehors de ma flamingite chronique, des déboires de mon chat et de la malédiction qui accable mon très cher frère, je vais vous éclairer un peu quant à la manie qu'à mon père avec ses bouteilles de Contrex. Il ne les boit pas les unes après les autres, comme tout le monde, non bien sûr, c'est commun, banal, surfait, voyons. En fait je crois qu'il lance un challenge en son fort intérieur contre lui-même, pour maintenir le nombre de bouteilles de Contrex entamées supérieur environ sept. Mais il ne fait pas que collectionner les bouteilles entamées, non, il les disperse partout, aussi. Après vérification, je peux vous affirmer qu'il y en a présentement une dans la salle de bain, une a côté de son clavier, une sous l'ordi de ma mère, une a coté de la télé, une sur un "refuge à chats", vous savez, ces especes de maisons dans lesquelles les chats vont jamais, une sur la table basse du salon, une sur l'enceinte de droite de la stéréo, une sur le comptoir, une dans les toilettes du bas, et enfin trois dans sa chambre. Mais c'est pas comme si ca choquait. À force, on commence à être habitués. Ca fait partie du décors, si vous voyez ce que je veux dire.

Les bouteilles de Contrex n'importe où, donc. Mon frère ayant fait le ménage hier dans la matinée, a passé de la javel sur le sol. N'allez pas croire que nous n'avons pas les moyens de nous acheter de Mr Propre détachant sol au savon de marseille spécial parquets et carrelages, non, c'est juste que mon frère adore empester la maison avec l'eau d'javel. Sauf que ce malin, après moultes récidives ravageuses, a enfin compris que la javel non diluée laissait de grosses tâches au sol, à moins de repasser trois fois avec juste de l'eau. À forces d'expériences fiascotiques, il a trouvé la solution plus économique en énergie autant qu'en temps, qui est de diluer la javel. Il a donc cherché quel récipiant pouvait servir à diluer de l'eau de javel, et est tombé nez à bouchon avec UNE BOUTEILLE DE CONTREX VIDE QUI TRAINAIT LÀ. ( Voyez, finalement, l'intro de mon article à un rapport avec la suite de celui-ci. )

Sauf que le mâle n'étant pas très fute-fute, il se garda bien de ranger la bouteille de Contrex dans laquelle il restait de la Javel diluée, en bas, avec tout ce qui est détergeant, détachant, et lessive liquide. Je suis certaine qu'il n'y a même pas pensé. Arrivé le soir, mon père commence à regarder son film, les pieds sur la table basse, les mains derrière la tête, tel le touriste bronzant, quand soudain il a soif. Il s'empare donc de la bouteille de Contrex à demie remplie qui trainait par là et boit d'une traite trois ou quatres gorgées, avant de s'appercevoir du gout étrangement salé de la solution aqueuse. ( Propos véridique recueilli par les bons soins de nos reporters, sur le terrain -> la Javel est salée. ) Puis commencèrent le vertige et l'envie de vomir. Il reniffla le goulot et se rendit compte qu'il venait d'être tenté d'être assassiné. Evidemment, mon père ne manquant pas de bon sens, n'a bien sûr, pas vomi, mais au contraire, mangé ce qui lui passait sous la main, et s'en est, comme vous vous en doutez, parfaitement sorti.

Notons maintenant des remarques fort captivantes de l'interressé en question:

La javel est salée.

Elle rend les dents blanches.

Elle fait étrangement boucoup de mousse quand vient le moment du brossage de dents.

Elle file des gaz durant toute la nuit ( Où comment se débarrasser d'une conquète d'une nuit qui devient trop collante. )

Après l'envie de vomir qui vous assaillit en premier lieu, la Javel donne faim.

À quand la commercialisation officielle de la Javel en tant que détergeant intestinal et détartreur minute?

Mercredi 11 juillet 2007 à 11:13

Mon frère, ce gros veinard, est ce que j'apellerais un aimé de la vie. Ou pas. En fait, ce pauvre bougre a tout simplement cassé deux voitures en l'espace de trois semaines. La première, la sienne, la p'tite fiat bravo, il l'a détruite en rentrant dans une plaque d'égoûts mal fermée. Il n'a comme celà cassé que le carter d'huile, il aurait pu sauver son bien aimé tas d'ferraille en s'arretant et en constatant les dégats. Mais non. Il a décidé que y'avait rien, il a continué comme ça pendant 10 km. Il a vidé l'huile, qui s'est agréablement répendue sur la route entre Pibrac et la Salvetat pour les connaisseurs. ( Oui l'énorme tache noire en bas de la descente de Champion, c'est lui. ) Son pauvre moteur s'est alors déconnecté à tout jamais de la vie. Bye-bye la Fiat.

La seconde voiture n'était autre que la jolie Laguna dernier modèle de mon papa avec portes-gobelets intégrés et tout. Pour tout vous avouer mes parents ont recemment fait l'acquisition d'une Toyota Corrolla Verso Linéa Techno ( Ces foutues voitures coréennes...! ^^ ) noire. Ils ont donc prêté la Laguna à mon frère, en attendant de la vendre, et en attendant qu'il s'achete un nouveau tracteur. Sauf que hier soir, vers huit heures, en revenant de chez sa belle, une voiture d'origine inconnue lui est tout simplement rentré d'dans. ( Il en a d'la chance, on lui fait du rentre dedans, il devrait être content non? Non. Range tes vannes Gwen. ) La madame qui conduisait la voiture a très probablement les deux pattes cassées, mais elle s'en sortira qu'ils ont dit les pompiers. Le pire, c'est que je suis allée voir l'accident, étant donné qu'il s'est passé au bout de la rue. Il pleuvait. Alors mon brushing... PFIOU. Non en fait, LE PIRE, c'est qu'il y a de très fortes chances pour que la femme ne soit pas assurée étant donnée qu'elle empruntait la voiture de son père. Et que l'argent de la revente devait servir à m'acheter ma moto.

Et bien sûr, le spécimen n'a pas eu son bac. Même pas à la repêche.

Alors là je me dis, il y a un truc qui cloche, quand même. Autant je lui ai conseillé que pendant au moins les deux prochains mois, pour sa santé et celle de son entourage ( Dont je fais malheureusement partie :'o ), de ne pas s'approcher d'aucun objet dangereux, de n'emprunter aucun couloir sinueux dont il n'a pas une visibilité complète, de ne pas faire à manger tant qu'il peut l'éviter et encore moins en utilisant le gaz. Quoique l'induction peut peut-être brûler, qui sait, ils connaissaient pas mon frère. Et enfin et surtout, de ne conduire aucun véhicule métant en jeu sa vie ou celle d'autres usagers. Et ce allant même jusqu'au caddie de supermarché.

Vous en déduirez, si je ne poste pas d'article prochainement et ce pendant un délai supérieur à une semaine et demie, ce ne sera pas que je suis partie en vacances ni rien, c'est probablement que ma maison a explosé d'une quelquonque manière. Si je meurs, prière d'envoyer des roses blanches pour mon enterrement.

À suivre...

Lundi 2 juillet 2007 à 12:07

Dans la vie il y a deux choses. Deux tristes réalités qui font que moi, ben je suis moi. Premièrement j'ai tout le temps faim. Parfois même je dis ca juste pour passer l'temps ou combler les conversations, mais hélas, c'est on ne peut plus vrai dans les 99% des cas. Après, tellement que cet état est constant, je ne prend même plus la peine de le dire. Et puis à force de le dire, justement, je saoûle les gens. Ils ne me croivent plus. Parce que c'est vrai qu'avec mon 38 flottant, et ce même avec une ceinture, les gens finissent par croire qu'en fait, si je dis que j'ai tout le temps faim, c'est que je mange jamais. Ce qui est, evidemment, faux. On s'en rend compte quand on passe plus d'une demi journée en ma compagnie. Mais la n'est pas la question.

La deuxieme caractéristique de moi, c'est que je suis une FLEMMARDE. Mais le genre, heu, boucoup, quoi. Le matin, mon pere me reveille, trois quart d'heure après je suis encore au lit hein. Sauf s'il y a promesse de boutiques et autres soldes après. Pour avoir une preuve concrète de ce trait de caractère flagrant chez ma personne, il suffit de jetter un coup d'oeil à ma chambrée. En fait, c'est tout simplement CRADE. En bordel, bordel, bordel. Plein de fringues de partout. Qu'il me serait facile de virer, en un ou deux voyages jusqu'au bac à linge sale, MAIS, flemme quoi. C'est même pas par gout du bordel. Vrai que je trouve ca plus intime une chambre sans d'sus d'sous, mais c'est quand même plus accueillant une belle chambre toute propre, faut pas pousser, hein.

Enfin bref, je me demandais laquelle de ces deux marques de fabrique était la plus encrée chez moi. J'en ai eu la réponse ce matin. Voyez-vous, mon frère étant en vacances, ma mère au boulot, mon père en voyage d'affaires à paris ( Oui d'habitude, comme il n'ouvre son video-club (Ooooh, ton père a un video-club, la chance! Oui, oui.) qu'à 3 heures donc il est là l'matin ) et ma soeur EN COURS, je me retrouvai seule. Je me levai, me lavai, et... eu la flemme de dejeuner. Soit, ca m'arrive parfois ca aussi. Sauf que là, il est midi. Que je me suis levée a huit heures trente ( Foutu reveil. ) ET J'AI FAIM. Mais putain qu'est-ce que j'ai la flemme de m'faire la bouffe.

J'crois que j'vais attendre que ma mère rentre du boulot, à huit heures.

Samedi 23 juin 2007 à 20:30

Tout le monde connait les Miel Pops. Tout le monde connait le chocolat en poudre. Nesquick, Super Poulain et autres Banania... © et tout le tralala. Est-ce que quelqu'un a deja essayé de mettre des Miel Pops dans du lait chocolaté? Oh, forcément quelqu'un. C'était bon hein? Non? Ah, bon. Moi j'aime bien.

Aujourd'hui, moi, je, et dans mon egocentrismes suprême, decidai de mettre au point une recette toute nouvelle. Histoire que tout le monde l'adopte, pis que chois mega connue. Alors, je reflechis à ce dont j'avais envie. J'avais envie de Miel Pops dans du lait chocolaté. Mais j'me dis que, comme tout le monde connaissait, c'était pas vraiment de l'innovation. Voire pas du tout. Alors j'inversais. Et decidai de faire des Nesquik au lait au miel. Le mélange fut rude à faire. Sportif. Etant donné que le miel collait partout, pour homogénériser le tout, chaud. Sans écraser les Nesquik, bien sur^^

Je parvins enfin au but de ma recette, et goutai. C'est alors que je remarquai l'étrange gout de la chose. Qui n'avait strictement rien à voir avec la recette d'origine. Et decidai alors de foutre le tout à la poubelle.

Alors, chers gens, je ne vous dirai qu'une chose. Si vous avez envie d'exotisme, et de mager un mélange digne d'un chef tahitien, du genre mial/chocolat, ne vous privez pas, mais optez pour la recette sobre et classique. Ou alors, quand on vous retrouvera avec des oedèmes jusqu'en bas des reins, en train de cracher votre bile, et de perdre des bouts de votre cerveau par les orbites, ne pronnoncez SURTOUT PAS mon prénom. Merci.

Même avec du sel, c'est degueulasse.

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